« y croyez-vous ? » A l’origine, cette question concluait une œuvre intitulée « épreuve d’artiste » où je déclinais jusqu’à l’absurde un foisonnement de doutes et d’interrogations autour de la création, la condition de l’artiste.

Détachée de ce contexte, la question s’ouvre à d’autres dimensions.

Elle laisse le « y » totalement libre d’interprétation. A chacun.e de lui donner sa forme, son sens, un nom, une réponse, d’y apposer une autre question... On peut aussi laisser flotter ce « y » comme un drapeau, sans lui attacher quoi que ce soit de précis, il est simultanément toutes les questions qu’on veut bien se poser.